ParClaude Nadeau,dimanche 1 juillet 2007 �11:17 :: Mariages:: #97 :: rss
Au moment où j'écris ces lignes, je reçois justement un mot de la part des mariés :
Nous souhaitons vous féliciter tous deux pour votre intervention.
Grâce à vous, notre mariage s'est déroulé complètement dans l'ambiance que nous avions souhaité lui donner.
Tout cela restera gravé dans nos mémoires... Notre maisonnée reste emplie de l'énergie que vous y avez transmis.
Vous nous avez transportés dans un univers féerique et magique, vous avez su éveiller nos sens,
et nous recevons cela comme un présent unique.
De nombreuses personnes de notre entourage furent enchantées à la fois par votre culture et vos personnalités.
Vous avez su les entraîner dans une autre époque, et c'est exactement ce que nous souhaitions. Nous sommes ravis !
Tous nos convives ont été enchantés par votre talent, votre culture et votre bonne humeur.
Certains ont découvert la musique médiévale, d'autres ont adoré vos diverses interprétations.
Nous-mêmes savions que votre prestation serait à la hauteur de nos attentes, et nous sommes totalement tombés sous le charme.
Votre sympathie, votre dévouement et vos cadeaux nous ont littéralement comblés!
MERCI, MERCI, MERCIďż˝
Valérie et William scellent leur union de façon "féodale"
An l'an de grâce deux mille sept, le trentième jour du mois des moissons, deux heures après l'angélus, messire Michel Obled et dame Nelly d'une part messire Guy Talbot et dame Danielle de l'autre, ont convolé en la mairie de Monterblanc, leur fille Valérie et leur fils William en juste noce afin de sceller leur union durable.
Serait-ce le tournage du troisième volet du film de Jean-Marie Poiré : Les Visiteurs ? Non simplement un mariage atypique quelque peu repoussé dans un temps lointain de la féodalité, au XIIe et XIIIe siècles. Pourquoi cette mise en scène ? Valérie et William vouent une passion pour cette époque : "C'était un autre état d'esprit. On travaillait pour vivre. Chacun apportait sa collaboration pour que son voisin puisse subsister. Aujourd'hui, on est plus individualiste". Doulz seigneurs, messires, gentes dames, chevaliers, colporteurs, gueux, chacun des soixante convives a joué le jeu et était acteur de cette journée. Pour rejoindre leurs terres au Faouëdic, ils ont emprunté le phaéton (charrette) où les bonne victuailles et bonnes pitances les attendaient au son des troubadours et ménestrels. Mais avant de faire ripaille, les époux ont échangé mutuellement leur consentement. (Ouest-France du 2 juillet)
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