ParClaude Nadeau,vendredi 14 juillet 2006 �18:41 :: Musique sacrée:: #2 :: rss
Un article paru dans le journal gaspésien "Le Havre" au sujet de mon oncle Claude LeBlanc, organiste en paroisse en Gaspésie. Quand on vient d'une famille de musiciens...
Par Louise Bourque
Les samedis et dimanches, Claude LeBlanc, l'organiste de l'église de Ste Adélaïde-de-Pabos, accompagne les deux chorales de la paroisse avec le même enthousiasme qu'à ses débuts en 1966.
Il est toujours là pour adoucir la peine aux funérailles ou souligner la joie lors des mariages. L'orgue électrique Baldwin est une amie qu'il aime toucher comme disent les gens du métier. Il en joue avec une ferveur faite de retenue et de ravissement que la musique religieuse lui procure, particulièrement son compositeur préféré, Bach dont il s'inspire dans ses improvisations.
M. LeBlanc célébrera son 73e anniversaire en août. La musique fait partie de sa vie. Il se souvient qu'à 5 ou 6 ans, il jouait des "reels" sur l'harmonium familial. La famille de Diogène LeBlanc a toujours aimé la musique, "magique et naturelle" à la maison dit M. LeBlanc. C'est d'ailleurs son père qui lui a montré les principaux accords mineurs et majeurs quand il avait huit ans. Il se rappelle avec émotion la fois, où à 12 ans, il a accompagné à l'harmonium les chants lors du grand congrès eucharistique à Grande-Rivière. Sa mère l'avait autorisé à s'avancer pour jouer; un micro avait été installé dans l'instrument; tout le monde l'a entendu. "Ma mère était fière de son petit gars. Je n'ai jamais oublié cette soirée. "
"Jouer de l'orgue à l'église, c'est ma manière d'exprimer un message de paix et de joie. J'aime que ce soit joyeux et pieux. Je remercie Dieu de m'avoir donné ce talent pour la musique d'église. Faire de la musique à l'église ou être membre d'une chorale est un privilège du Divin. C'est un bel héritage que j'ai reçu de mes parents."
paru dans le journal Le Havre
Par Louise Bourque
Les samedis et dimanches, Claude LeBlanc, l'organiste de l'église de Ste Adélaïde-de-Pabos, accompagne les deux chorales de la paroisse avec le même enthousiasme qu'à ses débuts en 1966.
Il est toujours là pour adoucir la peine aux funérailles ou souligner la joie lors des mariages. L'orgue électrique Baldwin est une amie qu'il aime toucher comme disent les gens du métier. Il en joue avec une ferveur faite de retenue et de ravissement que la musique religieuse lui procure, particulièrement son compositeur préféré, Bach dont il s'inspire dans ses improvisations.
M. LeBlanc célébrera son 73e anniversaire en août. La musique fait partie de sa vie. Il se souvient qu'à 5 ou 6 ans, il jouait des "reels" sur l'harmonium familial. La famille de Diogène LeBlanc a toujours aimé la musique, "magique et naturelle" à la maison dit M. LeBlanc. C'est d'ailleurs son père qui lui a montré les principaux accords mineurs et majeurs quand il avait huit ans. Il se rappelle avec émotion la fois, où à 12 ans, il a accompagné à l'harmonium les chants lors du grand congrès eucharistique à Grande-Rivière. Sa mère l'avait autorisé à s'avancer pour jouer; un micro avait été installé dans l'instrument; tout le monde l'a entendu. "Ma mère était fière de son petit gars. Je n'ai jamais oublié cette soirée. "
"Jouer de l'orgue à l'église, c'est ma manière d'exprimer un message de paix et de joie. J'aime que ce soit joyeux et pieux. Je remercie Dieu de m'avoir donné ce talent pour la musique d'église. Faire de la musique à l'église ou être membre d'une chorale est un privilège du Divin. C'est un bel héritage que j'ai reçu de mes parents."
paru dans le journal Le Havre
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